ou, le terrain à l’épreuve du développement durable ?
Car pour s’engager vers un développement durable, les acteurs de terrain ne doivent ils pas se mettre en capacité d’écoute, d’échange, de partenariat, de changement , … ?
le développement durable à besoin de trouver un « terrain » propice à l’évolutiuon, au changement, à l’innovation, au partage, à la coopération, …. le « terrain » a t-il engagé les actions nécessaires pour être en capacité de cela, pour retrouver l’audace d’innover, d’oser ? …
En réciproque , le concept de développement durable a t-il trouvé le langage, les expressions, les traductions et modalités applicatives concrètes qui en fasse un sujet d’intérêt et une offre adaptée aux questions et besoins de la population et des acteurs de terrain ?
C’est d’évidence une longue construction, trop longue peut être vu l’urgence de certaines réponses. Mais c’est une donnée intangible et mieux vaut s’en faire un allié qu’un ennemi. Je propose souvent les trois cercles qui s’entrecroisent - L’Homme - l’Espace - Le Temps- comme grille de lecture fondamentale et simple : l’Homme et le temps dessinent le court terme et long terme ; l’Homme et l’espace dessinent le local et le global ; le temps et l’espace dessinent le terroir ( territoire) . Le développement durable est peut être cette recherche d’un « Nouvel Art de vivre ensemble » : les êtres vivants dont les Humains, l’espace ( notre planète) et le Temps.
Pour les collectivités territoriales, l’enjeu est passionnant et de taille : inciter les humains a réintégrer le milieu du Vivant, en s’inscrivant dans l’espace ( écosystème local et global) et le temps ( passé-présent-futur).
Une belle page d’humilité et d’ambition à écrire ensemble, si possible, qui sera ausi productive de sens et de valeurs. .
Michel Mombrun
Président de SoliCités
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