« Sous l’effet de la mondialisation, les pays dits du « Sud » évoluent rapidement. Qu’il s’agisse de changement climatique, de biodiversité ou des migrations, la question de leur développement s’inscrit de plus en plus dans des perspectives mondiales. Dans ce contexte qui, pour avoir évolué, n’en est toujours pas moins fondé sur des rapports inégalitaires et soumis aux problèmes politiques qui existent dans beaucoup de ces pays, quel bilan peut-on tirer de l’aide humanitaire, et des actions contre la pauvreté et en faveur de l’environnement ? Faut-il repenser l’engagement associatif ? »